Je n'en peux, plus je déprimeAidez-moi je vous en supplie Enlevez moi ce poids qui m'opprime
Et a cause duquel me dégoute la vie.
Je m'ennuie, je rêve, je ne pense plus a rien
Je suis sereine, lorsque arrivent mes pires ennemis
Les soucis, ineffacables, inexprimables, personne ne se soucie de rien
Et quelque part, un petit fille pleure dans son lit.
Sous le poids de ses démons empoisonnés
Que sont ces soucis, toujours en bande,
Jamais séparés, toujours scotchés,
Dont on ne peut se défaire, et dont on ne demande
Qu'a oublier, qu'a effacer !
Cela est impossible, et pour cela, seule est ma manière
De les exprimer :
Ecrire, et c'est ce que je fais, pour que cesse cette guerre.
La poésie, invention merveilleuse, nous fait rêver
En quelques mots seulement,
Et pourtant, on se sent libéré
Par ces mots, qui expriment nos malheurs, nos sentiments.
Poésie, encore encore encore encore..
Pour un monde plus rose...
Alice